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La gourmandise est une vertu, pas un péché ! Voici la recette pour vous libérer.

En ce mois de mars 2021, il y a bien trop de restrictions dans nos vies pour poser un cadenas sur la boîte à biscuits. Ou à chocolats. Ou à bonbons. D’autant qu’il est tout à fait possible, à l’heure de la consommation responsable, d’être un.e gourmand.e responsable. Oui, on peut se faire plaisir sans se faire du mal !

Stop à la culpabilité

« Je me sens coupable après cette part de gâteau » ; « Je n’aurai pas dû commencer cette tablette de chocolat » ; « J’ai envie de crème chantilly et de pâte de fruits au lit mais j’ai peur de ne pas savoir m’arrêter ». Pas besoin de consulter un psy pour comprendre que nous sommes très doués pour nous culpabiliser avec la nourriture, en particulier le sucré. Péché capital ou vilain défaut, la gourmandise est souvent contrariée. Mais en réalité, se sentir mal avant, pendant ou après avoir mangé une douceur, ce n’est pas de la gourmandise. C’est une punition. Or, l’Homme a inventé les bonnes choses non pas pour se punir, mais pour une raison précise : se remonter le moral, trouver du réconfort, faire face aux situations difficiles. S’il y a bien un point sur lequel les psychologues, les nutritionnistes, les neurobiologistes et les philosophes sont d’accord depuis longtemps, c’est celui-là. La clé, c’est de profiter au maximum du plaisir qu’un aliment nous donne au moment où on se l’offre. Savourer chaque minute, chaque seconde. Le stress est source de poids, la gourmandise source de joie. Et dans cette joie, il y a l’équilibre qui nous protège de la gloutonnerie. Jean-Anthelme Brillat-Savarin, qui fut un des premiers avocats de la gastronomie au XVIIIe siècle, le disait lui-même : « La gourmandise est ennemie des excès ». Ce n’est pas un péché, mais une vertu ! Alors, avant de vous abandonner à cette tablette ou ce biscuit, posez-vous une seule question : « Ai-je assez faim, assez besoin et assez de temps pour en profiter maintenant ? »

Tant qu’à craquer, craquez engagé !

Aujourd’hui, on achète bio pour préserver sa santé, pour la qualité et le goût des produits, parce que c’est mieux pour le climat et l’environnement… Mais il a fallu du temps pour en finir avec ce vieux préjugé contre lequel Belledonne a longuement lutté : « Si c’est bio ce n’est pas gourmand ». Maintenant c’est fini, et c’est tant mieux ! L’observation des tendances montre que depuis quelques années, la recherche de santé et de naturalité des consommateurs ne se fait pas au détriment de la gourmandise. Au contraire. Les Français.es n’opposent plus « manger sain » et « se faire plaisir » : ils les marient ! Les gourmands deviennent très exigeants sur l'étiquette. S’agissant des produits sucrés, vous êtes de plus en plus attentifs à la quantité d’ingrédients, aux additifs, aux colorants, à la qualité des produits et bien sûr l’éthique. Forcément, les rayons des magasins bio ont les bonnes réponses. Vous pouvez y réconcilier plaisir des sens et quête de sens, avec des gourmandises bio (donc issus d’une agriculture qui respecte la terre et le vivant) pleines de saveurs et de valeurs. Entre manger n’importe quel biscuit, et savourer un carré coco, fabriqué artisanalement par une entreprise française responsable, avec des produits naturels, du cacao, du sucre et de la vanille labellisés BIOPARTENAIRE (le commerce équitable le plus exigeant du monde)… il y a une grande différence. Et croyez-nous, cette différence se sent même dans le goût !

Le plaisir est votre ami

Si on parle ici de gourmandise, c’est parce que nos clients consommateurs nous posent souvent des questions à ce propos. Et c’est normal : Belledonne est la seule marque Bio qui maîtrise les quatre métiers de boulanger, biscuitier, chocolatier et confiseur depuis 30 ans. On commence à bien connaître le sujet ! Et s’il y a une chose que nous savons par expérience, c’est qu’il faut de tout pour faire un monde gourmand. Il faut des biscuits et des cakes pleins de sagesse et d’atouts nutritionnels (le petit épeautre miel, le petit-déjeuner 6 céréales, le cookie vegansans oeuf, le cake énergie), et d’autres aux frontières du déraisonnable (le crousti choc noisette ou le marbré cacao). Il faut des pains craquants aux graines croquantes (le lin doré courge), et d’autres pour craquer (pain au fruits et gingembre). Il faut des amandes enrobées de chocolat noir (parce que la gourmandise c’est aussi la puissance), et des guimauves enrobées de chocolat au lait (parce que la gourmandise nous relie toujours à l’enfance)… Et si jamais la lecture de ces lignes vous a donné envie de douceur sans douter, alors c’est gagné !

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